Regarde chéri ta petite chienne attachée et sans défense

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il y a 5 ans

Il est arrivé tard et de mauvaise humeur, une de leurs machines était tombée en panne. Ne sachant pas s’il rentrerait pour 20 heures ou même 22 heures, par respect pour le restaurateur, il avait annulé la réservation au restaurent. Pour fêter les deux ans de notre rencontre via le site fessestivites, autant dire que la soirée était mal partie.

Max est un homme adorable, attentif à mon bien-être mais il est aussi un Maître assez sévère. Je ne m’amuse jamais à le provoquer pour avoir « une punition », cela fait trop mal aux fesses ou ailleurs. La dernière fois que j’ai essayé de le motiver en faisant volontairement de petites bêtises, je me suis retrouvée attachée nue avec des pinces à sein lestées sur les tétons. Elles y sont restées plus d’une heure avant qu’il les retire d’un seul coup. La douleur fut atroce.

Pour lui faire plaisir, et essayer de sauver la soirée de cet anniversaire, je lui ai demandé de s’asseoir dans le canapé et de se laisser faire. Une coupe de champagne ne pouvait que détendre l’atmosphère. J’ai donc fait le service comme une soumise, traduction, à genoux puis en lui tendant la coupe en mettant mes mains comme un plateau. J’avais laissé ma coupe vide pour lui faire comprendre qu’il déciderait si oui ou non, j’avais le droit d’en boire.

Sans m’attarder, je me suis levée pour mettre son CD préféré puis j’ai baissé la lumière grâce aux variateurs avant de foncer au donjon pour aller chercher des accessoires. A mon retour, alors que je jouais les allumeuses à la façon de ces filles qui dansent à la barre dans les boites de nuit, j’alignais tous les accessoires BDSM face à la table basse sur la moquette.

  • Je n’ai pas envie de jouer ce soir chérie !

  • Je sais Maître, je vous fais juste un petit spectacle pour vous distraire ! A été ma réponse même si, en réalité, j’avais envie qu’il s’occupe de moi.

J’essayais de le détendre et espérais que mon petit jeu allait déclencher en lui de lubriques pensés. Commencer par faire un striptease aussi coquin que langoureux me semblait être une bonne idée. Pour lui faire plaisir, j’avais mis des bas, un porte jarretelle, un petit bustier assorti. Ils sont tombés un à un avec la lenteur qui sied à ce type de spectacle érotique. En marchant à quatre pattes comme une chienne, et en ondulant des fesses, avec mes dents j’ai attrapé les bracelets de cheville. Assise sur les fesses face à lui avec les jambes écartées, je les ai posés et fermés sur mes chevilles. Une fois fait, repartir à quatre pattes pour aller lentement chercher mon collier de soumise me semblait être la suite logique.

La petite chienne est venu jusqu’à lui en le tenant dans les dents. Au lieu de le mettre à mon cou, il m’a dit ne pas être dans le trip. GRRRR

  • Je sais Maître, votre soumise cherche à vous distraire en s’amusant toute seule pour le seul plaisir de vos yeux. A été ma réponse bien que j’étais totalement décontenancée.

  • Soit, continue ! Fut la sienne.

Furieuse mais en masquant ma colère, je suis repartie à quatre pattes pour aller chercher des accessoires plaisir en plus. J’ai pris le petit et le gros magic wand massager d’ABCplaisir puis de petites pinces à sein qui ne font pas mal, mon plug queue de chienne, une chaînette et des mousquetons en plus du bâillon os, pour faire en encore plus chienne lubrique. Porter tout cela à quatre pattes n’était pas possible. je suis donc revenue debout au salon en me disant intérieurement « toi je vais t’avoir ».

Toujours à la façon « salope allumeuse » j’ai posé les pinces sur mes seins sans trop les serrer, mais juste assez pour qu’elles tiennent et là, je me suis amusée à les faire se balancer en le regardant dans les yeux. En même temps, ma main droite caressait mon chaton, plus coquine, ce n’était pas possible. Comme il ne réagissait toujours pas malgré tout ça, je me suis assise par terre et j’ai glissé dans mon chaton le petit magic wand massager.

Si mon plug queue de chienne a trouvé sa place entre mes fesses, avant je l’ai sucé comme si je faisais une fellation pour le réchauffer, le lubrifier et continuer mon action « d’allumage ». Toujours en position de chienne lubrique, je suis allée attraper les bracelets que j’ai posé sur mes poignets. A l’aide des mousquetons, j’ai solidarisé mes chevilles, puis mes poignets dans mon dos après avoir allumé le petit magic wand logé dans mon chaton.

Pour attraper le gros magic wand sans m’empaler sur celui qui dépassait de mon chaton, cela a été plus difficile que prévu, mais j’y suis parvenue. A genoux je me suis approchée de Mon Maître en saisissant au passage le bâillon os avec les dents. Je faisais la chienne qui veut jouer avec la tête, et, en me tournant doucement j’ai posé ma joue sur le sol. Mon corps était perpendiculaire par rapport au canapé quand j’ai allumé le gros magic wand massager pour le glisser entre mes jambes. Lorsque je l’ai posé sur mon clitoris, j’étais chaude comme la braise en quelques secondes. Je rêvais de la queue de mon Maître labourant mon chaton après avoir retiré le petit magic. Comme il ne réagissait toujours pas, je lui ai jeté le bâillon os.

  • Regarde chéri ta petit chienne attachée et sans défense !

  • C’est bien ! A été sa seule réponse ! ! ! ! ! ! !

Mon Maître s’est levé, j’ai cru qu’il allait s’occuper de moi, profiter de la situation, il n’en fut rien. Il est parti au donjon quelques minutes plus tard, et là, je me suis dit que j’avais gagné. Il a été très jouissif pour moi de le voir revenir avec les vraies menottes, des cordes et le crochet anal de shibari même si je ne l’aime pas trop. Il a commencé par me faire sucer la boule du crochet avant de me l’enfoncer dans les fesses sans retirer ma queue de chienne.

Il a attaché une des cordes à la queue de cheval que j’avais faite avec mes cheveux. Pour qu’elle tienne bien, il a fait plusieurs tour de ma tête en me passant aussi la corde dans la bouche comme un bâillon. Et là, il a attaché le bout de la corde au crochet anal en tirant ma tête en arrière. Je n’aime pas trop cette position, cela tire sur la nuque. En attrapant une corde, Maître m’a alors regardée en souriant, j’ai encore cru que cela allait être ma fête, que j’avais atteint mon but. 

Maître a plié ma jambe gauche pour enrouler la corde en la faisant passer sur le devant de ma cuisse puis sur la cheville. Après avoir fait plusieurs tour et l’avoir bloquée, cette jambe ne pouvait plus se déplier. Il a fait de même avec l’autre jambe pour m’imposer de marcher sur les genoux pour me déplacer.

A l’aide d’une autre corde, il a bloqué le gros magic wand contre mon chaton puis m’a retirée les bracelets des poignets pour les remplacer par les vraies menottes. Après les avoir bloquées dans la corde reliant ma queue de cheval au crochet anal de shibari, il est allé s’asseoir dans le canapé et se resservir une coupe de champagne.

  • Pour fêter nos deux ans, je vais donc donner une petite leçon à ma soumise. Je ne serai pas très sévère, rassure-toi mais tu as encore besoin d’apprendre. Ton idée de vouloir me faire une agréable surprise est bonne, elle m’a même excité. Le gros problème est qu’en me disant « Regarde chéri ta petit chienne attachée et sans défense » tu instrumentalisais ton Maître. Si j’avais donné suite à tes envies de te faire baiser, je devenais un simple sextoy à télécommande !

J’ai fait des « non » de la tête même si cela tirait sur mes cheveux et mon anus. Je ne me serai jamais permise de vouloir utiliser mon Maître comme un sextoy !

  • Regarde bien les clés de menottes. Tu les vois bien ?

J’ai fait un petit « oui » de la tête, vous avez compris pourquoi petit.... Et là, il les a jetées dans le salon en me disant que j’en aurai besoin pour me libérer. Il s’est levé et a mis en marche les DEUX magic wand à pleine puissance.

  • Je vais prendre un bon bain, j’ai besoin de me détendre ! M’a indiquée mon Maître en me plantant là en m’indiquant que je devais me libérer puis préparer le dîner.

Il est revenu sur ses pas en m’indiquant que je devais garder ma queue de chienne et mettre le bâillon os dans la bouche quand je serai libérée. J’étais folle de rage. Heureusement les clés des menottes n’étaient pas trop loin. Le problème est que, pour me déplacer avec uniquement les genoux et le menton comme appuis, je tirais sur mes cheveux et donc ma nuque, puis le crochet que j’avais dans les fesses. Les deux magic wand massager, totalement insensibles à ma détresse, s’acharnaient à vibrer. Les deux en même temps, un dedans et l’autre en bonne place sur le bouton magique, c’est franchement divin. La jouissance ne tarde pas. Oui mais là, c’était compliqué.

Compliqué de me déplacer, compliqué de vibrer intimement sans savourer le plaisir du bondage malgré ma colère. Au fur et à mesure, comme le dit si bien Liane Foly dans sa chanson, et qui ne vit peut-être pas les même folies que moi, j’ai senti le plaisir monter en moi. Quand je parle de folie, lorsque j’ai senti arriver la jouissance, j’étais tellement chaude que je faisais même des mouvements avec ma tête pour tirer entre mes fesses. Elle fut torride, longue, puissante et presque douloureuse car les magics ne s’arrêtaient pas. Et là, je me suis dit qu’il fallait vraiment que je me libère rapidement sous peine de trépasser à la prochaine vague.

Les clés n’étaient plus qu’à un mètre de moi et en même temps me semblaient si loin. J’étais épuisée par la première jouissance et les efforts pour me déplacer, quand j’ai du me préparer mentalement à la deuxième vague. Si je dis « me préparer » ce n’est pas parce que jouir n’est pas désagréable, c’est parce que lorsque les magics ne s’arrêtent pas, on a l’impression d’imploser et que l’on va mourir de jouir.

Tout mon corps s’est tendu, j’ai serré les dents sur la corde et fermé les yeux avant d’être terrassée par série de contractions monstrueuses. Tout mon corps tremblait, convulsait quand je suis tombée sur le côté. Il m’a fallu un petit moment pour reprendre mes esprits et ma respiration tant cela avait été fort. Je me suis dit qu’il fallait vraiment que je me libère car je ne survivrai pas à une troisième série de jouissances. En rampant sur le côté comme un ver en perdition voyant arriver sur lui une basse-cour affamée, j’ai fait le dernier mètre me séparant des clés.

Oui mais une fois qu’on les touches ces clés, elles ne sont pas encore dans la serrure des menottes ! Je sentais le trou de la serrure sous mes doigts quand j’ai senti aussi arriver une autre jouissance. Par chance, je suis arrivée à ouvrir les menottes et à arrêter le magic bloqué sur mon clitoris quand j’ai à nouveau joui. Comme cela ne vibrait plus sur mon petit bouton magique, cette jouissance était bien bonne, je l’avoue. Le ver de terre venait d’échapper à la basse-cour.

Retirer les cordes de mes jambes est devenu une priorité absolue. Il fallait que je les allonge. Ce fut très jouissif, au sens figuré du terme bien sûr. M’accorder un petit moment pour souffler c’est avéré être un impératif. Alors que je m’attaquais à l’aveugle bien sûr.... à la corde du crochet, Maître est arrivé.

  • Quoi, tu es encore là ? La table n’est pas mise et le dîner n’est pas prêt ?

Il m’a demandée de me lever et « « « aidée » » » en tirant sur la corde du crochet anal pour me conduire à la cuisine. Il m’a plaquée contre la table et à moitié couchée dessus.

  • Je ne vois rien sur cette table à par un compotier avec des bananes. Tu mériterais que je t’en mette dans les orifices pour avoir tardé mais j’ai mieux que ça pour te punir !

Il a retiré le magic arrêté mais encore dans mon chaton pour le remplacer par sa verge en pleine forme. Hummmmmm

  • Je vois que tu t’es bien amusée petite chienne, le lubrifiant est inutile! (Ami poète bonjour...)

La queue de chienne et le crochet anal de shibari devait réduire un peu la taille de mon chaton, car j’ai eu l’impression qu’il était plus gros que d’habitude. Avec la queue nous l’avions déjà fait plusieurs fois quand nous jouons pets-play, mais jamais avec le crochet en plus. Sous ses coups de butoir je ressentais des choses derrière en même temps que ses mouvements en moi. L’addition de ces plaisirs est bien agréable.....

Soudain je me suis vue dans la vitre de la cuisine face à moi, de l’autre côté de la table. J’avais tout d’une chienne avec un molosse derrière elle en train de la posséder. Un petit sentiment de honte m’a traversée l’esprit mais il n’a pas duré, il a été remplacé par le côté animal que nous avons en nous. Mes pensés se sont concentrées sur la saillie de la femelle que j’étais totalement à ce moment là. La dite femelle n’a pas pu demander la permission de jouir à cause de la corde qu’elle avait encore dans la bouche. Je ne sais pas si c’est ma jouissance qui a déclenché la sienne, mais il est venu presque aussitôt et m’a « fécondée ». J’aime le sentir jouir en moi, outre la fusion des corps, j’aime ce côté animal.

Sans se retirer de moi, il a commencé à défaire les cordes, en faisant encore quelques petits mouvements en moi. Lorsque ma bouche a été enfin libre, ma mâchoire lui a été très reconnaissante, ma nuque aussi quelques secondes plus tard. Après m’avoir libérée « le train arrière » il m’a retournée et embrassée tendrement en me disant « bon anniversaire chérie, tu as le droit de nous servir une coupe de champagne » !

FIN

TSM

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